Chaque jour du 2 au 15 novembre et pendant vingt-quatre heures, visionnez BANANAS (and kings) sans sortir de chez vous !

Après Un Démocrate, son premier volet sur la propagande, Julie Timmerman nous offre la saga féroce d’une multinationale en Amérique centrale. Quarante-trois personnages, des révolutions et une puissante réflexion sur la démocratie.

Du XIXe siècle aux années 1960, la United Fruit Company transforma l’Amérique centrale en une immense plantation de bananes. Confiscation du pouvoir par des marchands cupides et des militaires bouffons, coup d’État orchestré par la CIA, désastres écologiques et soulèvements populaires… L’Histoire souffle sur cette épopée qui parle de notre monde, de ses luttes comme de ses espoirs.

Vous pouvez retrouver l’ensemble des contenus autour du spectacle sur l’événement facebook

Témoignages spectateurs BANANAS (And Kings) :

PRESSE
Politis :
Pour cette artiste, le théâtre affirme sa puissance de plaisir par le filtre pamphlétaire. On est là pour se venger de l’injustice en riant. Il y a une épaisseur historique propre à la compagnie Idiomecanic Théâtre. Même réécrits, souvent tournés à la farce (glaçante bien sûr) les épisodes sont vrais. On osera dire qu’ainsi croquée, cette ignominie est fort réjouissante. 

Le Journal d’Armelle Héliot /​Le Masque & la Plume — France Inter :
Julie Timmerman, l’art du récit…Elle le développe avec intelligence et efficacité, sans jamais amoindrir le charme consubstantiel au théâtre. Julie Timmerman est une artiste remarquable. Elle a été une comédienne en herbe, elle est devenue une femme de tête qui n’a jamais abdiqué une sensibilité extrême.

Le Canard enchaîné :
Julie Timmerman s’est diablement bien documentée. C’est plus d’un siècle de coups tordus qu’ils nous font vivre. Juste avec un grand rideau, des caisses en bois et quelques projections video… A la fin, deux clowns échappés d’un vieux cabaret berlinois font irruption sur scène et tout bascule dans la farce noire.

Sceneweb :
Bananas (and kings) se place dans la lignée des grandes pièces épiques du répertoire La résistible ascension d’Arturo Ui de B.Brecht et L’ennemi du Peuple d’Ibsen.

l’Humanité :
Ils sont quatre à donner corps à une foule de personnages sur un ton grinçant satirique qui rappelle les exercices de lucidité de Brecht. Le texte tire son nerf d’une documentation minutieuse et d’un sentiment d’indignation bénéfique. Julie Timmerman, loin du sociologisme en vogue, porte le fer dans le coeur dur de la politique.

L’Obs :
Une fois accoutumé à cette résurgence du théâtre politique des années 1960, le spectacle, efficacement mis en scène par l’auteure qui figure parmi les quatre excellents interprètes, accroche jusqu’à la fin.

Télérama :
Le savoir-faire en matière de cabaret de la metteuse en scène, qui glisse d’un tableau à l’autre en s’appuyant sur sa troupe de solides acteurs, est incontestable. 

La Terrasse :
Une fresque palpitante, remarquablement orchestrée, qui interroge le naufrage du politique assujetti aux diktats du profit.

Le Monde :
Le rythme est soutenu, le jeu expressif, la mise en scène carrée.

Au fil de ses créations, J.Timmerman trace un chemin obstiné dont l’horizon semble être, tout simplement, la vérité. Son théâtre vise toujours la même cible : les discours qui, sous couvert de lucidité, vous empêtrent dans l’illusion.

le JDD :
Avec peu de moyens et beaucoup de mouvement, la pièce ne verse pas dans l’exposé documentaire figé. Démonstrative et engagée comme pour du Brecht dans son jus, Julie Timmerman sollicite l’imaginaire au fil d’une scénographie charmeuse. Quand le rythme s’emballe, la verve bout, le message pour ” armer les peuples”, résonne.

blog Coup de théâtre sur Le Monde :
Au fil de ses créations, Julie Timmerman trace un chemin obstiné dont l’horizon semble être, tout simplement, la vérité. Son théâtre vise toujours la même cible : les discours qui, sous couvert de lucidité, vous empêtrent dans l’illusion.

France Télévisions :
Instructif et drôle, politique et engagé, historique et contemporain : Bananas rue dans les brancards. L’on ne perd jamais le fil, grâce à la cohérence d’un texte qui dépasse le didactisme par une dramaturgie au souffle irrésistible. 

blog Balagan sur Mediapart :
Deux actrices, l’autrice et Anne Cressent et deux acteurs, Mathieu Desfemmes et Jean-Baptiste Verquin, se partagent vigoureusement plus de quarante rôles, le spectateur masqué s’y perd un peu mais le rythme ne faiblit pas dans un décor astucieux signé Charlotte Villermet. 

Artistik Rezo :
Acteurs brillants, texte passionnant, rythme incisif… A découvrir de toute urgence : du théâtre qui brûle et qui réveille.

Froggy’s Delight :
Paradoxalement aussi légère que profonde, la forme est parfaite pour expliquer les méfaits du capitalisme et la mise en coupe d’un continent. 

AVoir ALire :
A travers cette nouvelle pièce politique, ses mots sont toujours incisifs et tranchants, pour offrir un spectacle qui possède une vraie force de frappe. Julie Timmerman affirme son style très personnel, son identité, son empreinte dans le monde du spectacle vivant (et bien vivant !).

le SNES :
Le rythme est soutenu, le jeu expressif et le spectateur se laisse emporter par cette histoire, vraie qui plus est. Le résultat est formidable, tant pour l’écriture que la mise en scène et l’interprétation.

La Revue du Spectacle :
Une traversée du siècle et de l’inhumanité qui fait froid dans le dos. La mise en scène de J.Timmerman donne de la distance et de la théâtralité.

Théâtre du blog :
Il s’agit d’une histoire vraie, et Julie Timmerman la théâtralise au maximum, avec les moyens dérisoires et magiques du théâtre.

Revue Frictions :
Dans un monde théâtral où beaucoup naviguent à l’estime, passant toutefois obligatoirement par les cases mises au goût du jour par la mode ambiante, et notamment par celle du théâtre dit politique accommodée à toutes les sauces, Julie Timmerman et sa compagnie Idiomécanic Théâtre, font presque figure d’exception, ce ce que vient confirmer son dernier spectacle. Bananas (and kings) c’est la résistible ascension d’une multinationale jusqu’à sa chute ou sa mise en sommeil dans une version brechtienne, mâtinée de Dario Fo. Le degré d’efficacité est à son maximum dans cette clownerie menée tambour-battant, mais avec une précision d’horloger.

Marjorie Bertin, Julie Timmerman & Anne Cressent dans Vous m’en direz des nouvelles par Jean-François Cadet sur RFI :

Armelle Héliot recommande BANANAS (and kings) dans Le Masque et la Plume par Jérôme Garcin sur France Inter :

Emmanuelle Saulnier-Cassia, Julie Timmerman & Mathieu Desfemmes dans Droit en scène sur Radio Amicus Curiae :

Stéphane Capron dans le 5/​7 de Mathilde Munos sur France Inter :

Thierry Lebon & Julie Timmerman dans Coup de projecteur sur TSF JAZZ :

↘ Production : Idiomécanic Théâtre
↘ Coproductions : (RB|D) Productions, Centre culturel Aragon Triolet /​Mairie d’Orly, Fontenay en Scènes /​Fontenay-sous-Bois, La Grange Dîmière /​Théâtre de Fresnes, ECAM /​Le Kremlin-Bicêtre, Espace culturel Boris Vian /​Les Ulis, Théâtre des 2 Rives /​Charenton-le-Pont.

↘ Avec le soutien de la Direction régionale des affaires culturelles d’Île-de-France, des Théâtrales Charles Dullin édition 2020, de la Région Ile-de-France, Conseil départemental du Val de Marne, du Conseil Départemental de l’Essonne, de l’ADAMI, de la SPEDIDAM, du Théâtre des Quartiers d’Ivry – CDN du Val-de-Marne, du CENTQUATRE-PARIS et de la ville du Kremlin-Bicêtre.
Action financée par la Région Île de France.

↘ L’Adami gère et fait progresser les droits des artistes-interprètes en France et dans le monde. Elle les soutient également financièrement pour leurs projets de création et de diffusion.

↘ Lecture dans le cadre de la Piste d’envol au Théâtre du Rond-Point.