Après avoir questionné le genre dans Le Premier Sexe ou la grosse arnaque de la virilité, Mickaël Délis resserre la focale dans le deuxième volet de sa trilogie sur la masculinité, et s’attaque au contenu de son slip. Addiction au sexe, dysmorphophobie, priapisme, vertige de l’andropause ou de l’impuissance… et si la pierre angulaire du mâle était cette pauvre verge soumise à l’impossible étalon de son érection ? En convoquant notamment son psy, ses ex, sa mère, son père et son frère, Mickaël s’évertuera, non sans humour, à prendre la réelle mesure du pipo pour déjouer l’obsession de la performance et tenter d’aborder les vertus de la vulnérabilité.
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Véritable funambule dans une mise en scène toute en poésie, Mickaël Délis navigue entre danse, stand-up et personnages ; humour et émotion.
Rossana Di Vincenzo — Télérama TTT | Lire l’article
Comique, cru, jamais vulgaire.
Gérald Rossi — L’Humanité | Lire l’article
S’il s’adresse souvent au public, il n’en n’oublie pas pour autant la théâtralité, en convoquant de nombreux personnages qu’il interprète avec grand talent. (…) On rit beaucoup à l’écoute de cette exploration qui remet les choses à leur place. L’émotion passe. (…) Une grande réussite.
Marie-Céline Nivière — L’Oeil d’Olivier | Lire l’article
C’est grâce à une magnifique ingénuité scénographique et plastique que Mickaël Délis déploie avec délice, ses réflexions intimes, ses souvenirs d’une traversée du désert bien sombre et toute personnelle.
Brigitte Corrigou — La Revue du spectacle | Lire l’article
On retrouve la truculence du verbe, la jouissance de son esprit pétri de finesse autour de sa quête pour se réconcilier avec lui-même. Un beau spectacle avec un comédien lumineux.
Laurent Schteiner — Sur les planches | Lire l’article
Une création d’une belle acuité, d’une intelligence abrasive jusque dans l’écriture lardée d’humour corrosif, et dont le propos s’avère plus que pertinent à l’heure du retour en force du masculinisme.
Denis Sanglard — Un fauteuil pour l’orchestre | Lire l’article
Ce deuxième seul en scène est tout aussi mordant que le précédent. Aussi drôle qu’intelligent, il remet les idées en place et donne la patate.
Marie Plantin — Sceneweb | Lire l’article
La réussite de ce spectacle tient à la fois à l’écriture ciselée et impactant de son récit et à la capacité de ce comédien charismatique à déployer son charme et sa sincérité comme une offrande faite au public.
Catherine Corrèze — Manithea | Lire l’article
Ce seul-en-scène brillant est éclairant à plus d’un titre.
Patrick Adler — Tatouvu.com | Lire l’article
Mickaël Délis signe un texte fin et émouvant, qu’il défend sur scène dans une lumière chorégraphiée par Jago Axworthy. (…) On rit, on est touché, et quand on sort, on est ému.
Guillaume d’Azémar de Fabregues — Je n’ai qu’une vie | Lire l’article
↘ Production : Reine Blanche Productions
↘ Avec l’aide de : La grande histoire – centre d’art et d’écriture contemporaines, Les avant-postes à Bordeaux, le 5bis à La Réole.
↘ Avec le soutien de : Nouveau Gare au Théâtre de Vitry, CRESCO à Saint-Mandé, Espace Sorano à Vincennes, Maison des Arts de Créteil.
Du 3 au 21 juillet 2024 à 21h45
► relâche le 8 et 15 juillet
Tarifs=
22€ → Plein
16€ → Réduit
15€ → carte off
Frais de réservation=
2€ → Par internet sur la totalité de la commande en ligne
Modes de règlement : chèque, CB & espèces
Renseignements : reservation@scenesblanches.com | 04 90 85 38 17